Le vendredi 10 novembre, on est aller voir le spectacle « tel quel » de Thomas Lebrun, à la Maison de la Danse, à Lyon.
Sur scène, on a vu quatre personnages, un grand, habillé en rouge, un moyen, habillé en bleu, une danseuse de taille moyenne en jaune et une petite en rose.
Dès le début, j’ai compris que leurs apparences si différentes les unes des autres étaient importantes pour le spectacle.
Dans une scène de pique-nique, j’ai vu qu’un des personnages n’a rien à manger mais refuse le morceau proposé un des autres en faisant la dégoûtée, l’autre a beaucoup, et garde tout pour lui.
Les deux derniers se partagent leur nourriture.
Un petit moment après, l’homme qui a partagé son casse-croûte, pour rendre jaloux celui qui n’a rien donné, met de belles chaussures et danse sur scène en chantant. Au fond, les deux filles l’admirent avec attention. Pendant ces faits, celui qui était censé être touché, continue à manger son repas en s’en fichant.
Après leur pique-nique, ils s’aventurent dans une forêt, ils passent sous les branches d’arbres ou sautent. Ils traversent même un chemin difficile. A ce moment j’ai remarqué qu’ils ne s’aident pas pour sauter le grand ravin. La dernière est la petite : elle refuse de traverser à cause du vertige et personne ne l’encourage…
De mon point de vue, j’ai trouvé le spectacle « Tel Quel » assez comique, intéressant.
Dès le début, quand les quatre personnages commençaient à tourner, j’étais curieuse de savoir, de comprendre à quoi rimaient leurs gestes.
Petit à petit, j’ai compris sauf les paroles de la chanson, car il n’y avait pas de sur-titrage.
J’ai remarqué que les voix avec lesquelles ils chantaient n’allaient pas du tout avec leurs apparences, par exemple, un personnage a une voix aigu alors que c’est un homme et vise-versa : je trouve ça marrant et plutôt réussi.
Les scènes sont parfois répétées deux fois, par contre, avec des différences, c’est-à-dire dans la première, les personnages ne s’aident pas et dans la deuxième, c’est le contraire, ils s’organisent ensemble pour arriver à la fin de leur aventure.
En fin de compte, c’est une évolution de solitaire à solidaire ! ☺
Bravo à Thomas Lebrun !