L’an dernier un potager avait été mis en place grâce â Michel. Pour cette année scolaire, avec Eva et quelques ils ont décidé de passer en permaculture. Voici les premières étapes :
1 : Ramasser les produits arrivés à maturité ( courgettes, tomates, piments, pommes de terre et potirons )
2 : Enlever tous les plants morts, les utiliser pour faire le composte avec la terre et des déchets alimentaires verts.
A partir des photos reçues et de leurs questions, les p’tits rédacteurs ont décidé d’interviewer les acteurs du projet Permaculture !
Nous les retrouverons pour un article plus complet à la saison printanière ! En attendant, une petite pause hivernale s’impose, laissons les insectes préparer le sol à leur rythme …
Quels sont les jeunes inscrits sur ce projet ?
Quelles sont les adultes qui s’en occupent ?
Quel est l’objectif de ce projet ?
Quelle est la différence entre jardiner et faire de la Permaculture ?
Quelles ont été les actions menées depuis le début de ce projet ?
Que faites-vous des légumes et des fruits récoltés ?
Comment faites-vous l’hiver ?
Pourquoi créer une spirale aromatique ? Et pourquoi avec des pierres ?
A quoi sert de faire une grande tranchée ?
Question bonus ! Est-ce qu’il y a un lien entre permaculture et agriculture ? Entre permaculture et permanence ?
Tous les lundis de 9h00 à 12h00, Kélian, Ylane, Arthur ou Bafodé vont au centre équestre d’Ingrid, Equit’et sens à la Ronzière, avec Thierry Raphel.
On commence par dire bonjour aux chevaux dans l’écurie avant de les brosser avec une étrille (normale ou américaine) puis avec une brosse dure : le bouchon. Ensuite, on lève le sabot de cheval vers l’arrière et on le pose sur le genou pour enlever la terre et le crottin avec un cure-pied.
Une fois le cheval propre, on va chercher un tapis et une selle ; on pose d’abord le tapis sur le dos du cheval puis la selle et on l’attache sous son ventre. Il faut ensuite lui mettre le mord tout en laissant le licol autour de son cou.
On peut alors s’équiper : il faut mettre les gants, les bottes ou les chapes et une bombe.
Une fois prêt on amène notre cheval à la carrière. Avant de monter dessus, on vérifie que la selle est bien sanglée, on défait les étriers et on fait passer les rennes par-dessus la tête du cheval. Pour monter, on place son pied gauche dans l’étrier gauche pour enjamber le cheval avec sa jambe droite.
Ensuite, on va fait des parcours dans la carrière ou on va se promener aux alentours.
Le lundi 13 septembre des jeunes et des professionnels sont montés sur le puy de Chambourguet, la grimpette était un peu difficile, mais nous avons été accompagnés par une famille de rapace…
smart
En arrivant en haut, ils ont vu un oiseau en métal qui fait du son en reprenant le bruitage des oiseaux de la région et quelques morceaux de musique. La sculpture s’appelle l’Exofaune, elle mesure 1.80 m de hauteur sur 4 m de longueur.
Notre rencontre avec l’artiste :
Nous devions retrouver l’artiste sur place, mais il a eu un souci avec son train. Nous avons quand même eu la chance de pouvoir communiquer avec lui via zoom (il était au centre George Pompidou). Il nous a expliqué qu’il s’était inspiré de machines crées par la NASA pour s’approcher des exoplanètes* (les sondes voyageur 1 et voyageur 2) dans l’espace depuis les années 70 et 78.
L’artiste Thiago Antonio a voulu mélanger un satellite et un oiseau chanteur à travers son œuvre. Il a choisi cet animal car il plane comme les satellites (le prochain sera la tortue). Il a enregistré les oiseaux d’Auvergne. Les panneaux solaires sur les ailes de l’oiseau permettent d’alimenter les batteries afin de diffuser les différents sons à travers une enceinte relié à la carte SD. Thiago a travaillé avec un compositeur qui lui a proposé des morceaux de guitare et avec l’aide de David de l’atelier solidaire pour fabriquer la structure et faire en sorte qu’elle tienne debout.
Pour monter les différents éléments jusqu’au sommet du puy de Chambourguet, il a été aidé par les ânes de l’association GentiAnes du Sancy, qui ont porté 30kg (ils peuvent porter jusqu’à 60kg). Ils ont été remerciés par des carottes et des pommes. Pour descendre, il utilisera des véhicules 4×4.
Il est artiste depuis 10 ans, il a fait une école de cinéma puis une école d’art à 22 ans. Il a fait ce choix de carrière car depuis qu’il est enfant il a une grande imagination et « quand on est artiste il n’y a pas de limite ». Il nous a raconté qu’il jouait au Lego quand il était petit, afin de laisser libre cours à son imagination.
En ce moment, il réalise principalement des sculptures, des vidéos et des photos.
Il est brésilien, né à Rio de Janeiro en 1988, en ce moment il vit à Paris. Il aime beaucoup la France mais il va partout dans le monde ; il se dit nomade.
Le vendredi 11 juin, nous avons eu la visite de Marie Elsa, une éducatrice canine. Elle aide les maitres pour l’éducation de leurs chiots\chiens. Elle fait de la garde d’animaux à domicile. Mais sa grande passion reste les activités canines ludiques comme l’agility, le jeu, le trick qu’elle enseigne avec passion.
Elle ne travaille qu’avec des méthodes respectueuses de l’animal (pédagogie positive). En formation, Marie Elsa nous dit que nous pouvons passer par un Certificat de capacité (aucun niveau d’étude demandé), ou par des études plus poussées en passant le Brevet professionnel d’éducateur canin (niveau bac demandé). Deux établissements le proposent en formation alternance :
CFA Epl Agro à Bar-le-Duc
Lycée professionnel des Combrailles
Pour elle, le plus important est de continuer à se former tout au long de sa carrière.
Marie Elsa nous a expliqué qu’il faut à peu un ans pour éduquer un chiot. Pour un chien adulte, les choses sont plus compliquées car on lui demande de changer ses habitudes.
Pour cette éducatrice canine, les journées types se passent comme cela :
Avant le premier rendez-vous, il faut plusieurs informations concernant le chien : son poids, son âge, ses habitudes de vie… Elle prend aussi connaissance des habitudes de la famille. Pour les rendez-vous, elle prépare son matériel à l’avance et sécurise le terrain en amont. Une fois les rendez-vous effectués, elle fait les bilans des chiens rencontrés et de leurs familles et note les étapes clés du chien (problème, réussite). Pour elle, ce qui prend le plus de temps dans ce métier sont les factures, les trajets et la communication.
Le 28 juin, nous sommes allés visiter une pension canine située sur Volvic : le chenil de la bulle.
Le chenil garde des chiens lorsque leurs maitres partent en vacances. Ce chenil est aimé par les maitres car leurs chiens ont de l’espace (vaste terrain ombragé). Ils aiment aussi la relation avec l’éducateur qui leur donne des nouvelles tous les 2 jours.
A partir de nos questionnements, nous avons réalisé une fiche métier de l’éleveur canin.
Bonjour les p’tits rédacteurs du blog ! Je ne connaissais pas Evo le machiavélique et j’ai apprécié ses aventures. Bravo…